Méditation—De l’école à la cité : La Compassion dans la communauté

À l’école religieuse, nous avons appris à être de bons samaritains — à tendre la main à celui qui tombe, à partager le peu que nous avons, à voir dans chaque visage un frère. Mais dans la cité, ces valeurs semblent parfois s’effacer. Nous cherchons à accroître nos gains, à multiplier les miracles personnels, oubliant que la vraie foi ne se mesure pas à ce que nous recevons, mais à ce que nous offrons.

La société rejette souvent les élèves en difficulté, les personnes handicapées, les malades ou les aînés. Pourtant, la solidité d’une chaîne réside dans la force de son maillon le plus faible. La compassion, c’est voir l’autre non comme un fardeau, mais comme une partie de soi. C’est s’imaginer à la place de l’autre. La compassion nous rend objectifs.

LES MAILLONS

Quand on exclut le maillon faible, la chaîne perd en longueur. Quand on la solidifie, elle conserve sa dimension.  Mais si on exclut le maillon fort, la chaîne perd toute sa valeur.

-Verset biblique :

« Supportez-vous les uns les autres et pardonnez-vous réciproquement. » — Colossiens 3:13

-Verset coranique :

« Soyez bienfaisants envers vos parents, les orphelins, les pauvres et vos voisins. » — Coran 4:36

 -Pensée philosophique :

« La compassion est la base de la morale. » — Arthur Schopenhauer

-Proverbe :

« La main qui donne est au-dessus de celle qui reçoit. »

« Imagine une chaîne de vélo. Si un seul maillon se casse, c’est tout le vélo qui s’arrête.»

La force d’une nation réside dans la manière dont elle traite ses plus vulnérables. Soutenir le plus faible, c’est renforcer la chaîne de l’humanité.

Engagement:

Je m'imagine à la place de tous ceux qui souffrent et je prie pour eux!